Moins d’un an après avoir été emprisonnée pour avoir tué une mariée le jour de son mariage, la conductrice sera libérée de prison et placée en résidence surveillée.
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Jamie Lee Komoroski, 26 ans, attend son procès après avoir prétendument conduit en état d’ivresse et renversé les récemment mariés Samantha Miller et Aric Hutchinson en avril 2023.
Les deux venaient de se marier à Folly Beach, en Caroline du Sud, et sortaient de la réception de mariage dans une voiturette de golf lorsqu’ils ont été impliqués dans un accident avec un véhicule supposément conduit par Komoroski.
Samantha est décédée sur place et Aric a subi des blessures graves. Komoroski a rapidement été arrêtée au Centre de détention Al Cannon. Un rapport de police publié en mai de l’année dernière a révélé que le taux d’alcool dans le sang de Komoroski était de 0,261, trois fois supérieur à la limite légale.
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Elle a également été accusée de conduire à une vitesse de 65 mph (environ 104 km/h) dans une zone limitée à 25 mph (environ 40 km/h). En août, sa caution a été refusée, bien que le juge ait conseillé aux avocats de la traduire en justice tôt ou tard.
À l’époque, le juge Michael Nettles a décidé que si Komoroski n’était pas jugée avant mars, elle pourrait être libérée sous caution de 150 000 dollars.
Jusqu’à présent, Komoroski n’a pas encore été jugée. Par conséquent, selon le site Daily Mail, la jeune femme sera équipée d’un bracelet électronique et placée en résidence surveillée dans le comté de Charleston, en Caroline du Sud.
“Nous soutenons constamment que Jamie ne représente pas un risque de fuite ou de danger pour la communauté, et elle espère maintenant démontrer son engagement continu envers la réhabilitation après sa libération préalable au jugement de la détention”, a déclaré l’avocat de Komoroski, Chris Gramiccioni.
Il est important de souligner que, bien que Komoroski attende toujours son procès, une éventuelle libération de prison n’a aucune influence sur un éventuel verdict concernant les quatre chefs d’accusation portés contre elle. Si elle est reconnue coupable, Komoroski risque jusqu’à 25 ans de prison.
